What about IT risks?

We speak a lot about risks in general but what about IT Risks? At our IT era where almost all our appliances are based on electronic and computer systems, we speak a lot about natural and environmental disasters, human made disasters but could you imagine what could be an IT disaster where most of our corporate data are saved?

We know that the missions of first priority of antiviruses systems companies are to eradicate such events before they occur but cyber-terrorism could have the worst effects on knowledge management, documents, corporate data, corporate history...

Nowadays, we all want to get rid of print documents but what do humans thought about the 'What If'?

Most of our companies take care of saving files and data on servers on a daily basis but what are the main risks for highly confidential documents? Some thefts occur in the culture field (I think about paintings in particular), but what are the main insurance terms in the case of highly confidential electronic documents? Can 'reinsurance' be applied in this case? Are 'rules' sufficient to prevent from such thefts?

Didier, la NewsRe Team

Entre certitudes et incertitudes, le risque ...

En méthode de Management, les styles de prises de décision sont souvent évoquées pour en retenir le fait que nos décisions à court, moyen et long terme ont des liens très étroits avec le niveau d'implication dans la prise de risque. La question pourrait être donc évoquée sur le fait qu'en Réassurance, les méthodes de Management (implication dans les niveaux de prise de risque) sont souvent mises en application.

Existe t-il donc une culture de la Réassurance lié aux méthodes de Management ? Sur ce, j'y répondrai que c'est effectivement le cas. Les méthodes de Management appliquées à un niveau 'micro' soit à un niveau individuel et professionnel, impliquent nécessairement la question de la proactivité qui inclue la part de risque dans une démarche individuelle. Nous pourrions considérer que ce parallèle est un peu simpliste, mais il est curieux de comparer les deux éléments suivant : le degré d'implication dans le risque et le calcul du risque.

En Réassurance, aucun doute le degré d'implication dans le risque coexiste avec le calcul du risque, notamment en Actuariat et pour que l'Entreprise soit pérenne (à suivre) ...

Didier, la NewsRe Team

Les enjeux Web externes et internes en réassurance

Les enjeux externes et internes sont importants et doivent fonctionner en cohérence 'continue' dans le temps.

Pour être crédible, une entreprise doit adopter des discours similaires en interne et en externe pour conquérir la confiance de ses collaborateurs pour défendre leur entreprise et de conquérir de nouveaux marchés tout en fidélisant les clients.

En réassurance, le marché très particulier lié au grand risque n'y coupe évidemment pas. Mais quelle est la place de la 'e-communications' en réassurance. Elle doit se doter d'un bon manager Webmaster capable de fédérer des départements et d'avancer non seulement individuellement mais faire bouger pour atteindre un but et des processus communs.

D'un point de vue 'micro', je pourrais rester sur l'idée d'un bon fonctionnement d'intranet/internet et de systèmes efficaces de gestion de connaissance, mais une vue d'ensemble de type 'Helicopter View' est nécessaire pour adopter la meilleure stratégie pour l'entreprise d'avoir les meilleurs outils. Attention cependant à la notion d'outils qui fausse la stratégie si on se focalise uniquement sur ce point, l'essentiel portant sur une stratégie e-communications insufflant une stratégie des gains ( gain de temps pour le collaborateur, gain de nouvelles opportunités pour l'entreprise ...).

En savoir plus (2006) »

Didier, la NewsRe Team

La réassurance, un niveau élevé de responsabilité 'sociale'

Lorsque l'on observe les différents comportement dans l'entreprise, en fonction du domaine dans lequel on travaille, trois niveaux de responsabilité se dégagent face à des stratégies de réponse.

En fonction d'événements programmés ou non, une stratégie de management consiste à adopter une stratégie 'd'évitement' qui n'est pas celle du milieu de la réassurance, soit une stratégie 'réactive', c'est à dire en réponse à des besoins ad hoc, soit une stratégie 'proactive' qui permet à l'entreprise de s'adapter aux divers risques anticipés et différents évenements liés non seulement aux risques mais aussi aux événements internes de type 'managérial'.

En fonction de postes occupés, il est aisé de comprendre les trois stratégies adoptées en fonction des responsabilités occupées par le collaborateur. Généralement, le top management adopte la stratégie 'proactive', celle qui nécessite beaucoup d'analyses pour répondre à des besoins ad hoc, être prêt en cas de coups durs et surtout répondre efficacement pour tendre vers un risque 0 et vers un développement durable de l'entreprise. Le middle management de par les définitions de postes adopte quant à lui, une stratégie plus proactive, plus en réponse à des besoins.

La particularité de la réassurance qui doit constamment faire face à l'évolution des risques, adopte des stratégies et là, sur plusieurs niveaux de management, 'proactives'. Le métier de réassureur ne donne pas la possibilité (pas par choix des décideurs) d'adopter des stratégies de passivité et ne permet pas non plus l'attitude réactive ('voir un de mes prochains editos sur le Work Ethics in Reinsurance'). Ceci est d'autant plus vrai dans le monde des e-technologies et dans la mise en place de solutions Web au sein des entreprises de réassurance.

La réassurance offrirait-elle donc une structure organisationnelle unique qui permet d'offrir aux collaborateurs l'épanouissement dans la créativité et dans une stratégie personnelle et collective de développement professionnel ?

Didier, la NewsRe Team